n°35 boulevard Aristide-Briand


Commandé par Eric Hampartzoumian. Posé le 11 juillet 2015 en souvenir de son père Vasken. Sculpté par Thomas Faraud.
Elle n’est plus présente dans la niche (juillet 2017).
n°38 Bis Cours des Arts et Métiers
Oratoires restaurés en 2020
Les oratoires étaient très abimés avant 2020.
Il date du XVIIIe siècle. C’est le plus beau des Saints Roch.
n°3 rue Espariat
Le lys rappelle que l’Annonciation aurait eu lieu au printemps, au temps des fleurs.
Il a les mains liées sur la poitrine. Il a une couronne d’épines. Il a une tunique rouge comme selon la tradition.
n° 47 rue Manuel
Elle date du XIXe siècle. Elle est en pierre. C’est une sainte Sulspicienne.
Elle a été restaurée en 2015.
Photos avant la restauration 2015.
Rue Campra/impasse des Eyguesiers
Le Sacré -Cœur est représenté sous la forme d’un cœur entouré de rayons, brillant d’une lumière divine, saignant car ayant été transpercé par la lance du soldat Longinus et surmonté d’une petite croix.
Il s’agit du plus vieil oratoire encore visible à Aix.
Seul vestige de la dévotion de Notre-Dame de Grâce ou une inscription indique : 1663.
Statue en plâtre. Les deux pots aux noms de Jesus et Marie sont garnis de roses.
Elle date du XIXe siècle. Elle est en pierre. L’originale se trouve dans la chapelle des pénitents gris.
Rue de Montigny/Place des Prêcheurs/rue Mignet
Elle date du XIXe siècle. Elle est en plâtre peint. Elle faisait partie d’un culte ou les braves dames venaient allumer les bougies. Elle est éclairée la nuit. Elle a comme attribut, le candélabre.
Place des Cardeurs/Place des Fontêtes
Elle date du XIXe siècle (style du XVIIIe siècle). Elle est en pierre. Jésus est soutenu dans le pli du drapé.
Place Richelme/rue Maréchal Foch
Cette statue date du XVIIIe siècle et à été remise dans cet oratoire au XIXe siècle, plus précisément le 15 octobre 1842. Cet oratoire baroque est typique d’Aix. La Vierge porte l’enfant sur le bras droit, c’est une coutume du Moyen-Orient.
Place des Prêcheurs/rue Manuel
Elle date du XVIIIe siècle. Elle a été déposée et fut cassée en deux à cause des attentats du palais de justice. Elle a été restaurée.
Place Miollis/rue Emeric David/rue Manuel
Elle date du XVIIIe siècle. Elle est en pierre. Elle n’est pas d’origine, car l’originale était plus grande. Le bébé est couché dans les plis du drapé.
Place Ganay/rue de la Mule Noire
Elle date du XIXe siècle. Elle est en pierre. C’est une sainte Sulspicienne. Elle a les mains jointes en prière.
Rue des Cordeliers/rue de la Treille
Elle est polychrome et se trouve dans la rue Lisse des Cordeliers. Elle mesure environ 40 centimètres. Elle représente St Antoine de Padoue, frère mineur né à Lisbonne en 1195 et mort à Padoue en 1231, prêtre et docteur de l’Eglise.
Place des Quatre Dauphins/rue du 4 Septembre
Elle date du XVIIIe siècle. Elle n’est pas d’origine, car l’originale était plus grande. L’enfant est à droite.
La version actuelle date de 2015.
La version ci-après de l’oratoire n’est plus présente, suite à la chute d’un des arbres de la place des Quatres Dauphins. (voir article de la Provence du 1 juin 2013 ci-après Un arbre s’écroule… – La Provence – 1 juin 2013)
Elle date du XVIIIe siècle. Elle vient d’être repeinte et on lui a restitué une nouvelle tête.
Elle date du XIXe siècle. Elle est en pierre. Elle a les mains jointes en prière.
Elle date du XVIIIe siècle. Elle est polychrome. Elle a un manteau bleu. Jésus est tourné vers le public. Elle est sans coiffe.
Elle date du XVIIIe siècle. Elle est en pierre et est polychrome.
Il a été refait à l’identique. Il pèse 100 kilos.
Rue Espariat/Place des Augustins
Elle date de la fin du XIXe siècle, mais reprend un modèle du XVe siècle. Elle est en pierre. Elle mesure environ 40 centimètres de hauteur. Jésus est tourné vers la Vierge.
Place Richelme/rue Vauvenargues
Cette statue date de 15 octobre 1849. Une inscription est lisible sur le socle: « priez pour nous ».
Rue de Littera/rue Gaston de Saporta
Elle date du XIXe siècle (postérieure à 1857).
Elle faisait partie des itinéraires de procession du dimanche après-midi, ou la foule chantait des cantiques.
Statue de plâtre, elle était entièrement dorée à la feuille avant sa restauration. Des perles bleues ont été retrouvées sur le sol de la niche ce qui permet de montrer que l’on habillait les statues des oratoires.
Vierge couronnée, une croix et un coeur appendus à son cou tient un sceptre dans sa main gauche et son fils sur le bras droit, ainsi qu’une clef à son poignet gauche.
Il ne reste plus qu’un seul oratoire qui conserve encore sa lanterne.