Archives par étiquette : Hôtel Particulier

Hôtel de Fortis

n°16 rue Matheron

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Hôtel de Fortis

Hôtel de Fortis

Hôtel de Fortis

Hôtel de Fortis

 

Hôtel d’Olivari

n°2 rue des Bagniers

Maison à l’angle de la place Saint Honoré, appartenant d’abord aux Alphant, puis aux Olivari. Jean-Pierre d’Olivari, né en 1554 et mort en 1633, était un magistrat distingué et un grand ami de Peiresc.

Hôtel Paul Arbaud

n°2A rue du Quatre Septembre

Construit à la fin du XVIIIième siècle sur les anciens bâtiments du couvent des Feuillants, vendu comme bien national en 1791. Siège de l’Académie des Sciences, Agriculture, Arts et Belles Lettres d’Aix.

Hôtel Paul d'Arbaud

Hôtel Paul Arbaud

Médaillon

Médaillon

Hôtel Ferrier et Cundier

n°61 et 63 Cours Mirabeau

Hôtels jumeaux, ils furent construits à la fin du XVIIème siècle pour l’orfèvre François Ferrier et pour le géomètre Balthazar Cundier.

Hôtel Ferrier et Cundier

Hôtel Ferrier et Cundier

Hôtel Ferrier et Cundier

Hôtel Ferrier et Cundier

Hôtel de Gantès

n°53 bis Cours Mirabeau

Ou d’Albert du Chaine

Dix ans après la création du cours à carrosses, la place manque pour de nouvelles constructions et le procureur général du Parlement François de Gantès, seigneur de Valbonnette, est réduit en 1660 à acheter une hôtellerie, Le Cheval blanc, pour la démolir et construire sa demeure en face de l ‘hôtel de Pontevès.

Hôtel de Gantès

Hôtel de Gantès

Hôtel de Mazenod

n°53 Cours Mirabeau

Ou Laugier de Saint-André

Les premiers propriétaires furent les Chantre, teinturiers. En 1730 l’hôtel fut vendu à Antoine Laugier, seigneur de Saint-André. Sa fille se maria en 1743 à Charles Alexandre de Mazenod, officier des Mousquetaires du roi et président à mortier au Parlement. Ils eurent quatre fils dont deux naquirent dans cet hôtel, Charles Antoine né en 1745, qui sera président à la Cour des Comptes, et Charles Fortuné, évêque de Marseille. L’aîné, Charles Antoine, épousa mademoiselle de Joannis et fut le père de Charles Eugène de Mazenod, lui aussi évêque de Marseille, et fondateur de la société des Missionnaires de Provence, devenue en 1826 la congrégation des Oblats de Marie. Une plaque rappelle qu’Eugène de Mazenod a été canonisé. L’entrée se faisait rue des Grands Carmes.

Hôtel de Mazenod

Hôtel de Mazenod

Hôtel de Nibles et Vitrolles

n°37 Cours Mirabeau

Ou Guidi, ou d’Arnaud

Construit au milieu du XVIIème siècle pour les Guidi, il fut acquis au XVIIIème par le consul Alphonse Louis d’Arnaud, seigneur de Nibles.

Hôtel de Nibles et Vitrolles

Hôtel de Nibles et Vitrolles

Hôtel d’Estienne d’Orves

n°27 Cours Mirabeau

Ou de Margallet, ou de Miollis

Construit au XVIIème siècle pour la famille des Margalet, conseillers à la Cour des Comptes. Plus tard il passe aux Maurellet. Au XVIIIème siècle l’hôtel est acquis par le marquis de La Roquette.

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Hôtel d’Estienne d’Orves

Hôtel du Chevalier Hancy

n°23 Cours Mirabeau

Ou de Pontevès, ou de Michaelis

Construit en 1650, appartenant successivement à des Pontevès, puis et à des Michaelis, seigneurs du Seuil, enfin aux Hancy qui le vendirent en copropriété.

Hôtel du Chevalier Hancy

Hôtel du Chevalier Hancy

Hôtel du Chevalier Hancy

Hôtel du Chevalier Hancy

Hôtel du Chevalier Hancy

Hôtel du Chevalier Hancy

Hôtel Leblanc de Castillon

n°21 Cours Mirabeau

Ou Laugier de Beaucueil, ou Leblanc de Castillon

Sur l’emplacement d’une partie de l’hôtel de Séguiran (l’autre partie servit à construire une · partie de l’hôtel d’Arbaud Jouques), les Laugier de Beaurecueil firent bâtir au début du XVIIIème siècle une vaste demeure, que nous pouvons admirer aujourd’hui. L’hôtel fut vendu aux Truphème qui le cédèrent en 1779 au procureur général Leblanc de Castillon, qui se rendit célèbre par son hostilité aux Jésuites. Ses descendants l’habitèrent jusqu’au milieu du XIXème siècle et c’est alors que la Sous-Préfecture s’y installa.

Hôtel Leblanc de  Castillon

Hôtel Leblanc de Castillon

Hôtel d’Arnaud Jouques

n°19 Cours Mirabeau

La partie orientale de l’hôtel de Valbelle-Meyrargues fut acquise par la veuve de Jacques d’Arbaud en 1695, et la partie occidentale de l’hôtel de Séguiran fut achetée par le fils du précédent au début du XVIIIème siècle.

La destruction de trois anciennes demeures permit à André Elzéar d’Arbaud de réaliser en quarante années son rêve de bâtisseur. Après son mariage en 1697 à l’âge de vingt et un ans, il édifia et aménagea l’un des hôtels de style Régence les plus admirés du cours Mirabeau, au numéro 19.

Hôtel d’Arbaut Jouques

Hôtel d’Arbaut Jouques

Hôtel d’Arbaut Jouques

Hôtel d’Arbaut Jouques

Hôtel d’Arbaut Jouques

Hôtel d’Arbaut Jouques

Hôtel de Valbelle-Meyrargues

n°17 bis Cours Mirabeau

Ou de Raousset, ou de Cabre

Construit en 1642 par Jacques de Grille, écuyer d’Arles, qui le vendit au conseiller au Parlement Léon de Valbelle. Celui-ci remania la façade sur rue en 1678. A la fin du siècle, son petit-fils, Cosme de Valbelle, baron de Rians, vendit la partie orientale de son vaste hôtel à la veuve de Jacques d’Arbaud-Jouques et la partie occidentale à Simon de Raousset. Ce qu’il en restait fut vendu au marquis de Cabre qui le vendit en 1843 au notaire Blachet. Il fut acquis ensuite par le pharmacien Sigaud.

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Hôtel de Valbelle-Meyrargues

Hôtel des Princes

n°3 Cours Mirabeau

Ou des Quatre-Nations

Construit en 1777 par les frères Arnoux à usage d’hôtel, il sera acheté en 1784 par Imbert. Devenu sous la Révolution et l’Empire l’hôtel des Quatre Nations. Y logèrent : en 1788 les ambassadeurs indiens de Tipou-Sahib envoyés au roi Louis XVI ; le 18 vendémiaire an VIII Bonaparte ; en 1809 le pape Pie VII, prisonnier.

Hôtel des Princes

Hôtel des Princes

Hôtel des Princes

Hôtel des Princes

Hôtel de Caumont

n°3 rue Joseph Cabassol

Ou de la tour d’Aigues, ou de Réauville

C’est sur les plans originaux du grand architecte parisien, Robert de Cotte, que fut bâti cet hôtel. En 1714, quand François Rolland de Tertulle, seigneur de Réauville, marquis de Cabannes, président à la Cour des Comptes, entreprit la construction de son hôtel dans le quartier Mazarin.

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Caumont

Hôtel de Foncuberte

n°10 rue Frédéric Mistral

Ou Arnette de La Charlonny

Construit au XVIIème siècle, remanié au XVIIIème siècle et aujourd’hui complètement transformé pour une création de copropriété.

Hôtel de Foncuberte

Hôtel de Foncuberte

Hôtel Dugrou

n° 25 rue Roux-Alphéran

Ou de Palerme, ou d’Albert

Construit au début du XVIIème siècle par André Georges Dugrou, trésorier général des Etats de Provence, puis receveur général des Domaines. Vers 1746, l’hôtel fut vendu au trésorier général du Pape en Avignon, Antoine de Palerme. Sa fille, Jeanne de Palerme, épousa Jean-Esprit d’Albert, président en la Cour des Comptes de Provence.

Hôtel Dugrou

Hôtel Dugrou

Hôtel de Castillon

n°23 rue Roux-Alphéran

Ou de Boyer de Bandol, ou de Bruny de La Tour d’Aigues, ou d’Albertas, ou de Grasse

Bâti au XVIIIème siècle, vers 1735, pour François de Boyer, seigneur de Bandol. Celui-ci le vendit, dès 1744, à François de Bruny baron de La Tour d’Aigues. Il passa par la suite au comte de Grasse.

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Castillon

Hôtel de Boysseulh

n°13 rue Roux-Alphéran

Ou de Robineau de Beaulieu, ou de Foresta

Cette grande maison, qui date du XVIIIème siècle, fut habitée au siècle dernier par le peintre Gustave de Beaulieu, né à Aix en 1801 et mort en cette même ville en 1860. Ce fut un peintre de genre et de paysages, élève de Constantin. Il a décoré dans cet hôtel un plafond « à la pompéienne ».

Hôtel de Boysseulh

Hôtel de Boysseulh

Hôtel de Peyssonnel

Ou Roux-Alphéran

Propriété au XVIIIème siècle de la famille PEYSSONNEL, seigneurs de Fuveau. L’hôtel passa ensuite dans la famille Roux-Alphéran. C’est en ces lieux que fut écrit l’ouvrage tant recherché : « Les Rues d’Aix ».

Maison habitée par Roux Alpheran mort le 8 février 1858.

Hôtel de Peyssonnel

Hôtel de Peyssonnel

Hôtel de Peyssonnel

Hôtel de Peyssonnel

Hôtel de Ravel d’Esclapon

n°39 rue Cardinale

Construit à la fin du XVIIème siècle avec l’hôtel jumeau du numéro 37, par Jean Gastaud. Vendu en 1712 aux Ravel. Propriété de Jean de Ravel, seigneur d’Esclapon.

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Hôtel de Ravel d’Esclapon

Hôtel de Gastaud

n°37 rue Cardinale

Ou de Foresta

Jean de Gastaud, conseiller à la Cour des Comptes, éleva à la fin du XVIIème siècle deux hôtels, aux 37 et 39 de la rue Cardinale. Au 37 ce sont ses descendants qui habiteront l’hôtel avant qu’il soit vendu aux Foresta. Le marquis de Foresta, préfet sous la Restauration, suivit en 1830 le Roi Charles X en exil à Holy Rood.

Hôtel de Gastaud

Hôtel de Gastaud

Hôtel Lieutaud

n°32 rue Cardinale

Construit au XVIIème siècle, c’est là que naquit en 1703 Joseph Lieutaud, médecin de Louis XVI.

Hôtel Lieutaud

Hôtel Lieutaud

Hôtel Lieutaud

Hôtel Lieutaud

Hôtel Daret

n°29 rue Cardinale

Immeuble construit au milieu du XVIIème siècle. Propriété du peintre Daret, vendu de son vivant.

Hôtel Daret

Hôtel Daret

Hôtel Daret

Hôtel Daret

 

Hôtel de Carondelet

n°17 rue Cardinale

Ou de Joursanvault-Mareilles , ou de Ruffo-Bonneval, ou de Grignan

Il fut bâti en 1670 pour Philippe Emmanuel de Carondelet, baron de Talan, et appartint avant la Révolution au marquis de La Fare, seigneur de Bonneval. En 1848 il fut acquis par le comte de Grignan et passa ensuite aux Joursenvault-Mareilles.

Hôtel de Carondelet

Hôtel de Carondelet

Hôtel de Coriolis de Rousset

n°15 rue Cardinale

Ou de Giraud d’Agay

Hôtel construit au XVIIIème siècle pour les Coriolis. Au XIXème siècle, propriété des Giraud d’Agay, il fut par la suite acheté par la famille Aubert.

Hôtel de Coriolis de Rousset

Hôtel de Coriolis de Rousset

Hôtel de Simiane

n°17 rue Goyrand

Ou de Grignan, ou de Villeneuve-Vence

Edifié au début du XVIIIème siècle par François d’Albert et par son fils Marc Antoine, tous deux conseillers au Parlement. Il fut acheté en 1730 par Pauline de Simiane, petite-fille de madame de Sévigné, qui y vécut jusqu’en 1737. Veuve du marquis de Simiane, elle partageait son temps entre son hôtel d’Aix et sa bastide de Belombre à Marseille. Dans cet hôtel, en 1772, Emilie de Marignane logeait chez sa grand-mère, la douairière de Marignane, qui elle-même résidait chez son amant le marquis de Villeneuve Vence. L’hôtel passa par les femmes aux Fauris de Saint-Vincent, puis aux Villeneuve Vence. Dans la première moitié du XIXème siècle il appartenait à Alexandre de Périer.

Hôtel de Simiane

Hôtel de Simiane

Hôtel de Galliffet

n°15 rue Goyrand

Ou de Léotard d’Entrages

Bâti au début du XVIIIème siècle par Jean Léon de Léotard, seigneur d’Entragues. Par le mariage de sa petite-fille il passa aux Galliffet, seigneurs du Tholonet.

Hôtel de Galliffet

Hôtel de Galliffet

Hôtel de Cabanes

n°13 rue Goyrand

Charmant petit hôtel à façade à deux travées, construit au XVIIIème siècle pour Balthazar Melchior de Cabanes, baron de Viens, conseiller au Parlement de Provence.

Hôtel de Cabanes

Hôtel de Cabanes

Hôtel de Gaufridi

n°11 rue Goyrand

Demeure édifiée dans les années 1690.

Hôtel de Gaufridy

Hôtel de Gaufridi

Hôtel de Félix du Muy

n°9 rue Goyrand

Ou Joseph Honoré

Construit vers 1693 pour Joseph Honoré, expéditionnaire en cours de Rome. Il fut modifié pour Jean-Baptiste de Félix, marquis du Muy, conseiller au Parlement, devenu en 1735 sous-gouverneur du dauphin, fils de Louis XV.

Hôtel de Félix du Muy

Hôtel de Félix du Muy

Hôtel de Montvalon

n°7 rue Goyrand

Ou La Garde

Cet hôtel a appartenu au début du XVIIIème siècle à André de La Garde, procureur général au Parlement de Provence, puis à son neveu, André de Barrigue de Montvalon, conseiller au Parlement de Provence, mort en 1769.

Hôtel de Montvalon

Hôtel de Montvalon

Hôtel de Tressemanes-Chasteuil

n°5 rue Goyrand

Ou de Coriolis de Limaye, ou de Bausset, ou Borely

Bâti par Joseph de Tressemanes-Chasteuil, conseiller au Parlement, qui le vendit en 1736 à Joseph de Coriolis, baron de Limaye, seigneur de la Bastide Jourdans. Le département des Bouches-du-Rhône l’acquit à l’époque du Concordat pour loger les archevêques d’Aix. Mgr Champion de Cicé y vécut et y mourut en 1810. Ensuite propriété de l’excentrique procureur général Borély, qu’on pouvait surprendre chevauchant un cheval de bois dans son salon ou plongeant dans un immense cuvier d’eau froide pour se maintenir en bonne santé. En 1847, démis de ses fonctions, il s’adonna à l’élevage des porcs dans les environs de Gardanne. Anglomaniaque, ami intime de lord Brougham qui lança la Côte d’Azur, il avait donné le nom de New Porcell à son élevage. «On le voyait, écrit Mistral, entrer dans la ville à cheval, conduisant fièrement un troupeau de porcs anglais».

En 1842 l’hôtel fut acquis par le marquis de Beausset.

Hôtel de Tressemanes-Chasteuil

Hôtel de Tressemanes-Chasteuil

Hôtel de Lagoy

n°3 rue Goyrand

Ou de Reboul de Lambert, ou de Castellane-Majastre

Bâti à la fin du XVIIIième siècle pour Henri de Reboul-Lambert, conseiller à la Cour des Comptes. Avant la Révolution, l’hôtel passa au comte de Castellane Majastre. En 1812 il sera acquis par Louis-Xavier de Meyran, marquis de Lagoy.

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Hôtel de Lagoy

Hôtel Bonnet de la Baume

n°2 rue Goyrand

Sa construction fut entreprise en 1786, quelques années avant la Révolution, par Joseph Philippe Bonnet de La Baume, conseiller au Parlement depuis 1766.

Hôtel Bonnet de la Baume

Hôtel Bonnet de la Baume

Hôtel Dedons de Pierrefeu

n°14 rue Mazarine

Ou de Châteauneuf, ou de La Tour du Pin, ou de Clapiers, ou Guillibert de la Lauzière

Propriété des Châteauneuf au XVIIème siècle, reconstruit au milieu du XVIIIème siècle par Esprit Dedans de Pierrefeu, chevalier de Saint Louis et maréchal des Camps et Armées du Roi.

Hôtel Dedons de Pierrefeu

Hôtel Dedons de Pierrefeu

Hôtel Dedons de Pierrefeu

Hôtel Dedons de Pierrefeu

Hôtel de Marignane

n°12 rue Mazarine

Ou d’Albert, ou de Boyer de Bandol

Construit à la fin du XVIIème siècle pour François et Marc Antoine d’Albert. Il fut vendu vers 1745 à Joseph Marie de Cavet, marquis de Marignane.

Hôtel de Marignane

Hôtel de Marignane

Hôtel de Ribbe

n°10 rue Mazarine

Ou de Ricard de Saint-Albin, ou de Pazery de Thorame

Bâti à la fin du XVIIème siècle ou au commencement du XVIIIème pour Pierre de Ricard, seigneur de Saint-Albin, reçu en 1708 président de la Chambre des Enquêtes du Parlement.  Pierre de Ricard, seul, sans enfant, loua l’hôtel au marquis de Vibraye et à sa femme née Grignan, puis en 1728 à Louis Palamède de Forbin, marquis de Solliès. En 1756 Claude François de Forbin-la Barben acheta l’hôtel et le revendit en 1774 à Pierre Symphorien de Pazery, conseiller au Parlement. En 1830 l’hôtel fut acquis par madame de Ribbe, qui y accueillit son frère, Mgr de Miollis, évêque de Digne en 1838.

Hôtel de Ribbe

Hôtel de Ribbe

Hôtel de Bezieux

n° 8 rue Mazarine

Ou de Rissy ou de Longchamps

Construit dans les dernières années du XVIIème siècle pour Alphonsine de Rissy, épouse de Joseph de Navarrin et de Longchamps. Il fut acheté en 1712 par Balthazar de Bézieux, magistrat à Aix.

Hôtel de Bezieux

Hôtel de Bezieux

Hôtel de Perrin

n°46 Cours Mirabeau

Ou de Meyronnet de Châteauneuf, ou de Selle, ou d’Inguimbert

Hôtel construit pour Louis Perrin, troisième consul d’Aix, au milieu du XVIIème siècle.

Hôtel de Perrin

Hôtel de Perrin

Hôtel Gassendi

n°44 Cours Mirabeau

Ou de Saboulin-Bolléna

Elevé pour Pierre Maurel entre 1647 et 1650 et vendu en 1665 à Marc-Antoine de Gassendi.

Hôtel Gassendi

Hôtel Gassendi

Hôtel Lyon de Saint Ferréol

n°42 Cours Mirabeau

Ou Reinaud de Fontvert

Construit au XVIIème siècle par Pierre Maurel de Pontévès pour un de ses fils qui le vendit en 1704 à Joseph Lyon de Saint Ferréol. En 1768 l’hôtel fut acheté par Reinaud de Fontvert. En 1818 il fut vendu au chocolatier Giraud Ginesy.

Hôtel Lyon de Saint Ferréol

Hôtel Lyon de Saint Ferréol

Hôtel de Suffren

n°40 Cours Mirabeau

Ou Esprit d’Arnaud, ou de Forbin d’Oppède

Construit pour Esprit d’Arnaud, conseiller à la Cour des Comptes, en 1648. En 1674 propriété du conseiller de Suffren, son neveu, marquis de Saint Cannat et de Saint Tropez.

Le bailli de Suffren, né en 1729 au château de Saint Cannat, y vécut. Sous l’Empire, l’hôtel   fut acquis par le marquis Forbin d’Oppède et au XXème siècle par Edouard Jourdan.

Hôtel de Suffren

Hôtel de Suffren

Hôtel de Suffren

Hôtel de Suffren

Hôtel Courtès

n°36 Cours Mirabeau

Ou Laugier de Saint-André

Construit vers 1650 pour Joseph Courtès, avocat au Parlement. Il fut acquis en 1736 par Antoine de Laugier, seigneur de Saint André.

Hôtel Courtès

Hôtel Courtès

Hôtel de Gailhard

n°34 Cours Mirabeau

Ou Barlatier ou Traversery

Construit en 1650 pour la famille Traversery, vendu aussitôt à l’avocat Noël Gailhard, il sera acheté en 1713 par Bernardin Barlatier.

Hôtel de Gailhard

Hôtel de Gailhard

Hôtel de Gailhard

Hôtel de Gailhard

Hôtel d’Entrechaux

n°32 Cours Mirabeau

Ou Garnier

Construit vers 1650 pour le procureur Garnier. A la veille de la Révolution, il appartenait à la marquise deTulles (ou Tulle) de Villefranche, née Ricard de Brégançon. Par la suite il passa à un certain M. d’Entrechaux qui lui a laissé son nom.

Hôtel d’Entrechaux

Hôtel d’Entrechaux

Hôtel Jaubert

n°30 Cours Mirabeau

ou Lambert

Construite pour Jean-Antoine Lambert vers 1650. Maison natale de Jaubert, né en 1779 et mort en 1847. Il fut conseiller d’Etat, directeur de l’Ecole des Langues Orientales et membre de l’Institut.

Hôtel Jaubert

Hôtel Jaubert

Hôtel Julien

n°28 Cours Mirabeau

Ou Lambert

Construite pour François Lambert, avocat à la Cour et frère de Jean-Antoine Lambert,  vers 1650. Maison acquise par Jean-Joseph Jullien : né à Aix en 1704 et mort en 1789, il fut professeur de droit à l’Université, puis conseiller à la Cour des Comptes. Il mourut dans cette maison.

Hôtel Julien

Hôtel Julien

Hôtel Gazel

n°26 Cours Mirabeau

Maison du prieur Gazel, construite vers 1650.

Hôtel Gazel

Hôtel Gazel

Hôtel André

n°24 Cours Mirabeau

Maison bâtie pour Jean André, notaire de l’Archevêché, vers 1650.

Hôtel André

Hôtel André

Hôtel de Gueydan

n°22 Cours Mirabeau

Ou d’Arlatan de Montaud ou Eyguesier

Construit en 1648 pour Martin Eyguesier, avocat à la cour, vendu en 1679 à la famille Sextius d’Arlatan – Montaux. En 1681, Pierre de Gueydan achet l’hôtel. Il était encore occupé en 1880 par la dernière marquise de Gueydan.

Hôtel de Gueydan

Hôtel de Gueydan

Hôtel de Forbin

n°20 Cours Mirabeau

Ou Milan

En 1656, le conseiller au Parlement César de Milan, seigneur de Cornillon et de Confoux,  entreprend la construction sur le futur cours à carrosses d’un des plus vastes hôtels particuliers d’Aix.  Un an plus tard, il meurt. Sa veuve poursuivra les travaux, qui seront terminés par son fils Claude, président au Parlement. Ce dernier épousa en 1672 Gabrielle de Forbin et joignit le nom de sa femme au sien.

Hôtel de Forbin

Hôtel de Forbin

Hôtel de Meyronnet-Saint-Marc

n°18 Cours Mirabeau

Ou Esprit-Le-Blanc

Construit en 1656 pour Esprit Blanc, seigneur de Ventabren. Par les femmes, il passa aux Meyronnet de Saint-Marc en 1777. Toujours propriété de la famille.

Hôtel de Meyronnet-Saint-Marc

Hôtel de Meyronnet-Saint-Marc

Hôtel de Meyronnet-Saint-Marc

Hôtel de Meyronnet-Saint-Marc

Hôtel de Mirabeau

n°16 Cours Mirabeau

Ou de Mougins-Roquefort, ou Melchior Grognard, ou Lyon de Saint-Ferréol, ou de Fabry

Construit en 1656 pour Melchior Grognard, trésorier général de France. A sa mort en 1688 il fut vendu à Alexandre Roux de Gaubert qui le céda peu après à Antoine Constant, lui aussi trésorier général. En 1736 il fut acheté par Jean Antoine Riquetti, marquis de Mirabeau. Préférant son château, ce dernier vendit l’hôtel très rapidement à Bouchet, seigneur de Faucon. En 1763 c’est Joseph Lyon, seigneur de Saint Ferréol et de Pontevès qui en devint propriétaire jusqu’à sa mort en 1798. En 1820 l’hôtel fut acheté par le premier président de la Cour royale, le baron de Fabry, dont le fils le revendit au premier président Rigaud. Enfin, il passa dans la famille des Mougins-Roquefort.

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Hôtel de Mirabeau

Hôtel de Fauris-Saint-Vincent

n°14 Cours Mirabeau

Ou de Raousset Boulbon, ou de Rascas

Cet hôtel fut construit, par l’entreprise Begue, vers 1650 pour Honoré de Rascas, seigneur du Cannet, son neuveu le vendit en 1698 à Silvy de Raousset, comte de Boulbon, Président du Parlement. En 1739, l’hôtel fut acheté par Antoine de Fauris-Saint-Vincent, conseiller à la Cour des Comptes, dont les descendants furent de grands savants et de grands collectionneurs, des hommes de bien et hommes d’esprit.

Hôtel de Fauris-Saint-Vincent

Hôtel de Fauris-Saint-Vincent

Hôtel de Fauris-Saint-Vincent

Hôtel de Fauris-Saint-Vincent

Hôtel d’Antoine Venel

n°12 Cours Mirabeau

Bénédictines du monastère de La Celle

Bâtiment construit au XVIIème siècle par les Bénédictins de La Celle qui le quittent en 1685. Il est acheté par Maître Sauvaire, avocat, et ensuite par les Antoine Venel.

Hôtel d’Antoine Venel

Hôtel d’Antoine Venel

Hôtel d’Entrecasteaux

n°10 Cours Mirabeau

Ou de Boniface-Leydet, ou Gucidan, ou d’Isoard-Vauvenargues

Construit en 1710 pour François Boniface-Leydet, sieur de Peynier, conseiller au Parlement. Il fut vendu en 1731 à Gaspard de Gueydan. En 1761 il fut acquis par Jean Baptiste Bruni, marquis d’Entrecasteaux, président à mortier. L’hôtel fut vendu en 1810 au cardinal d’lsoard, dont la belle-sœur avait acheté en 1791 le château de Vauvenargues. En 1950 c’est un avocat qui s’y installe, Maître Bonelli, et plus tard l’orfèvre Vita.

Hôtel d’Entrecasteaux

Hôtel d’Entrecasteaux

Maison de Vacon

n°8 Cours Mirabeau

Ou Sinety

Hôtel édifié au début du XVIIIème siècle par Louis Antoine Vacon, conseiller la Cour des Comptes. Il passa ensuite dans la famille des Sinety, puis des La Roque.

Maison de Vacon

Maison de Vacon

Hôtel de Gantelmi d’Ille

n°6 Cours Mirabeau

Ou Margalet de Luynes, ou Lombard du Castellet

Construit sur des terrains ayant appartenu au conseiller  à la cours des comptes d’Albert en 1710 pour Antoine de Margalet, seigneur de Luynes, au début du XVIIIème siècle, acheté par les Lombard du Castelet. Après la Révolution il est acquis par les d’Albert Sainte Hippolyte et en 1821 par Félicien Agard. Au début de la IIIe République, le célèbre marquis félibre de Gantelmi d’Ille en devient le propriétaire.

Hôtel de Gantelmi d’Ille

Hôtel de Gantelmi d’Ille

Hôtel de Villars

n°2 – 4 Cours Mirabeau

Ou d’Esmivy de Moissac

Construit en 1710 pour Louis d’Esmivi de Moissac (on écrira plus tard Hesmivy), conseiller à la Cour des Comptes. Son petit-fils, capitaine de vaisseau, officier de Suffren, intendant à la Guadeloupe, livre son hôtel en 1750 à Honoré Armand, duc de Villars, gouverneur de Provence, en souvenir de son père. Mécène, il favorisera de nombreuses fondations culturelles ; bibliothèque, cabinet d’antiquités, jardin botanique, école de dessin, école des sciences.

Hôtel de Villars

Hôtel de Villars

Hôtel de Garidel Thoron

n°12 rue d’Italie

Façade remaniée au XIXème siècle.

Hôtel de Garidel Thoron

Hôtel de Garidel Thoron

Hôtel de Séguiran d’Auribeau

n°16 rue Constantin

Au XVIIème siècle, propriété de Jean Baptiste de Séguiran, seigneur d’Auribeau, deuxième consul d’Aix.

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Hôtel de Seguiran d’Auribeau

Hôtel de Rimbaud

n°10-12 rue des Marseillais

Demeure de Jean-Philippe Rimbaud, sculpteur aixois.

Hôtel de Rimbaud

Hôtel de Rimbaud

Hôtel de Rascas

n°31 rue de la Verrerie

Propriété des Rascas, seigneurs du Muy, de Château-Redon, de Bagarris, du Canet.

Hôtel de Rascas

Hôtel de Rascas

Hôtel de Gaillard-Lonjumeau

n°27 rue de la Verrerie

Propriété des Isnard au XVIème siècle, le vieil immeuble fut acheté en 1622 par Pierre de Gaillard, conseiller du roi, contrôleur ordinaire et provincial de guerre. La famille conserva l’hôtel jusqu’en 1771. A cette époque il fut vendu aux enchères et acheté par J. Féraud.

Hôtel de Gaillard-Lonjumeau

Hôtel de Gaillard-Lonjumeau

Hôtel Bonnet

n°19 rue des Epinaux

Construit en 1634 par l’audiencier au Parlement J. Bonnet.

Hôtel Bonnet

Hôtel Bonnet

Hôtel de Cormis

n°15 rue des Epinaux

Maison achetée en 1534 par Pierre de Cormis. François de Cormis, avocat et jurisconsulte célèbre, y naquit en 1639.

Hôtel de Cormis

Hôtel de Cormis

Hôtel de Cormis

Hôtel de Cormis

Hôtel de François de Michel

n°13 rue des Epinaux

Ou de Gantès, ou de Miollis

Maison de Jacques de Viany, trésorier général de France en 1666.

Hôtel de François de Michel

Hôtel de François de Michel

Hôtel de Clapiers

n°26 rue Vauvenargues

Ou de Thomassin, ou de Brancas

Immeuble modeste acquis en 1479 par Nicolas de Clapiers, seigneur de Pierrefeu. En 1652, une partie de la maison fut vendue à Alexandre de Thomassin, seigneur d’Aynac.

Hôtel de Clapiers

Hôtel de Clapiers

Le célèbre moraliste Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues, est né dans cette maison, le 5 août 1715.

Hôtel Saurin de Murat

n°29 rue Portalis

Joseph Ignace Saurin, jurisconsulte, y naquit en 1641 et y mourut en 1714. Pierre, son fils, l’habita jusqu’en 1743.

Hôtel Saurin de Murat

Hôtel Saurin de Murat

Hôtel de l’Enfant

n°25 rue Portalis

Ou de Cormis, ou de Galliffet, ou d’Arnaud de Rousset

Au début du XVIIème siècle habitaient dans l’hôtel Pierre de Cormis et son fils Louis, président au Parlement, marquis de Brégançon, seigneur de Beaurecueil et de Roques Hautes. En 1664 les L’Enfant acquirent l’immeuble. Joseph, conseiller au Parlement, le vendit aux Gallifet, seigneurs du Tholonet. Ensuite, il fut occupé par les Arnaud, seigneurs de Rousset. Ce sont ces derniers qui le vendirent en 1768 à la veuve de Pierre de Robineau de Beaulieu, commissaire des Guerres et l’un des fondateurs de l’Académie de Marseille.

Hôtel de l’Enfant

Hôtel de l’Enfant

Hôtel de Porte

n° 34 rue Manuel

Ou de Jean-Baptiste-François Porte

D’abord propriété des Porte, l’hôtel passa dans la famille des Agard, puis dans celle des Salve.

Hôtel de Porte

Hôtel de Porte

Hôtel de Ricard de Bregancon

n°17 rue Thiers

Ou de Régina

Cette maison a appartenu au début du XVIIIème siècle à Louis-Hercule de Ricard, marquis de Brégançon, conseiller au Parlement de Provence. Il fut ensuite acquis par Antoine de Régina, greffier en chef du Parlement. C’est en 1855 que la famille Sec l’acquit.

Hôtel de Ricard de Bregancon

Hôtel de Ricard de Bregancon

Hôtel Palamède de Forbin

n°10 rue Thiers

Ou d’Arnaud

Construit au XVIème siècle, propriété de Palamède de Forbin, auteur de la réunion de la Provence à la couronne de France. Propriété des d’Agoult plus tard au XVIème siècle, il fut vendu au XVIIIème siècle aux Romégas.

Hôtel Palamède de Forbin

Hôtel Palamède de Forbin

Hôtel de Meyronnet de Chateauneuf

n°7 rue Clémenceau

Construit au XVIIème siècle pour Philippe de Meyronnet, conseiller à la Cour des Comptes.

Hôtel de Meyronnet de Chateauneuf

Hôtel de Meyronnet de Chateauneuf

Hôtel de Meyronnet de Chateauneuf

Hôtel de Meyronnet de Chateauneuf

Hôtel de Meyronnet de Saint Marc

n°5 rue Papassaudi

Cette très grande maison appartenait au XVIe siècle à la famille Pignoli, dont l’un des membres, Louis Pignoli, fut premier consul d’Aix. Elle passa par la suite dans celle des Meyronnet en la personne d’Alphonse de Meyronnet, procureur général à la Cour des Comptes.

Hôtel de Meyronnet

Hôtel de Meyronnet

Hôtel Mayol de Saint-Simon

n°5 rue Espariat

Construit par la branche de Saint Simon de la famille de Mayol connue depuis 1278, et qui se disait descendante de Saint Mayol, abbé de Cluny, mort en 994.

Hôtel Mayol de Saint-Simon

Hôtel Mayol de Saint-Simon

Hôtel Mayol de Saint-Simon

Hôtel Mayol de Saint-Simon

Hôtel Boyer d’Eguilles

n°6 rue Espariat

L’hôtel Boyer d’Eguilles, progressivement restauré de nos jours, fut commencé vers 1676, sans doute d’après les plans du grand architecte provençal Pierre Puget, surnommé le Michel-Ange français, pour Madeleine de Forbin d’Oppède, veuve du conseiller au Parlement, Vincent de Boyer, seigneur d’Eguilles (1618-1659). L’hôtel fut terminé par son fils Jean-Baptiste (1645-1709), grand amateur d’art et collectionneur averti.

Hôtel Boyer d’Eguilles

Hôtel Boyer d’Eguilles

Hôtel Boyer d’Eguilles

Hôtel Boyer d’Eguilles

Hôtel Boyer d’Eguilles

Hôtel de Rabasse de Vergons

n°39  rue Espariat

Ou de Bonnet de Malignon, ou de Gratian, ou Féraud

Habité au XVIIème siècle par Charles de Bonnet, seigneur de Malignon, il passa ensuite dans la famille Aune. En 1780 l’immeuble fut acquis par André Féraud, architecte.

Hôtel de Rabasse de Vergons

Hôtel de Rabasse de Vergons

Hôtel de Cabre

n°42 rue Victor Leydet

Ou de Belcodene, ou d’Estienne de Saint-Jean

Construit à la fin du XVIIIème siècle pour le président de Cabre, seigneur de Belcodème, il passa ensuite aux d’Estienne de Saint-Jean qui y abritèrent une grande partie de leur collection d’objets d’art.

Hôtel de Cabre

Hôtel de Cabre

Hôtel de Coriolis

n°67 Cours Mirabeau

Ou de Boisson

Au XVème siècle se trouvait sur cet emplacement une auberge à l’enseigne de l’Ecu de France. L’immeuble allait même jusque dans la petite rue Saint-Jean. Il fut vendu à la fin du XVème siècle à Jean de Coriolis. C’est dans cet hôtel que naquit en 1542 Louis de Coriolis, dit « jambe de bois », président au Parlement de Provence et beau-père du poète Malherbe. Reconstruit en 1672 par Jean Jaubert pour le conseiller Honoré de Boisson.

Hôtel de Coriolis

Hôtel de Coriolis

Hôtel de Coriolis

Hôtel de Coriolis

Hôtel de Coriolis

Hôtel de Coriolis

Hôtel de Montauron

n°65 Cours Mirabeau

Ou Hôtel de Beauveau, ou de Seguiran, ou d’Isoard de Chénerilles, ou Blanc de l’Huveaune

Après avoir été la propriété de Louis de Beauvau, sénéchal de Provence, cet hôtel fut vendu par ses héritiers, en 1475, à Vivaud Boniface, Grand Juge de Provence, et ses descendants l’échangèrent à Melchior Séguiran, seigneur de Vauvenargues et conseiller au Parlement de Provence. Pendant la construction du Cours, l’hôtel appartenait à la famille de Montauroux. Il passa ensuite aux Isoard de Chénerilles, puis aux Blanc de l’Huveaune et enfin en 1762 aux Bérage.

Appelé de Montauron probablement suite à une erreur.

Hôtel de Montauroux

Hôtel de Montauroux

Hôtel du Poet

Place Forbin

Ou de Gautier du Poet

Henri Gautier, né en 1676, clerc de notaire, puis caissier, enfin en 1717 trésorier général des Etats, enrichi, anobli en 1724 par l’achat des terres nobles du Poët, Valavoire et Vernègues, achète en 1730 le terrain du moulin situé en haut du cours à carrosses et fait bâtir son hôtel qui aura « pour Cour le cours tout simplement ».

Hôtel du Poet

Hôtel du Poet

Hôtel du Poet

Hôtel du Poet

Hôtel de Grégoire

n°55 rue Emeric David

Hôtel du XVIIIème siècle d’une célèbre famille. Gaspard Grégoire (1714-1795) est l’auteur de « l’Explication des Cérémonies de la Fête-Dieu  ».

Hôtel de Grégoire

Hôtel de Grégoire

Hôtel de Maliverny

n°33 rue Emeric David

Construit au début du XVIIème siècle par la famille des Antelmy de La Cépède dans le quartier de Villeneuve, l’hôtel fut acquis vers 1650 par la famille de Maliverny, originaire de Cotignac dans le Var. C’est Nicolas de Maliverny, reçu le 20 août 1655 conseiller à la Cour des Comptes, en l’office de son père, qui entreprit dans l’hôtel vétuste les premières transformations architecturales et les embellissements décoratifs intérieurs des pièces d’apparat du premier étage. Son fils Jean-Baptiste, reçu conseiller le 24 octobre 1690 et président à mortier le 14 février 1702, termina les travaux de rénovation.

Hôtel de Maliverny

Hôtel de Maliverny

Hôtel de Maliverny

Hôtel de Maliverny

Hôtel de Comte Siméon

n°26 rue Emeric David

C’est dans cette maison qu’est né le comte Joseph-Jérôme Siméon, célèbre jurisconsulte. Sa statue orne d’ailleurs, avec celle de son beau-frère Portalis, les marches du Palais de Justice d’Aix. Avant lui, le Père Joseph Bougerel, oratorien, y était né en 1680.

Hôtel de Comte Siméon

Hôtel de Comte Siméon

Hôtel de Monval

n°24 rue Emeric David

Ou de Barlet

A appartenu à Joseph de Barlet, avocat à Aix, puis à la famille de Fresse de Monval.

Hôtel de Monval

Hôtel de Monval

Hôtel de Barlet

n°18 rue Emeric David

Ou de Taillas

L’hôtel de Barlet, de Taillas ou de Savignac apparaît avec une façade très sobre, en pierre de Bibemus, sans doute pour mieux faire ressortir la beauté de la porte d’entrée en fines marqueteries de bois des îles avec deux marteaux de bronze fort intéressants.

Photos de mars 2023

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet

Hôtel de Barlet (Avant la rénovation)

Hôtel de Panisse-Passis

n°16 rue Emeric David

Ou de Thomas de La Garde

Construit en 1739 pour Henri de Thomas, marquis de La Garde, conseiller au Parlement. Mort sans enfant, sa succession alla aux Mark Tripoli de Panisse-Passis, propriétaires du château Borély à Marseille.

Photos de mars 2023

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Photos avant la restauration

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Panisse-Passis

Hôtel de Carcès

n° 12 rue Emeric David

Ou Guesnay, ou de Coriolis d’Espinouse

Construit vers 1590 pour Jean Guesnay, Trésorier Général de France, il passa en 1612 à Eléonor de Montpezat, veuve de Gaspard de Pontevès, seigneur de Carcès. Il passa dans la famille des Coriolis en 1662 et y demeura jusqu’à la fin  du XVIIIème siècle.

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Carcès

Hôtel de Thomassin

n°12 rue Marie et Pierre Curie

Construit au XVIème siècle, habité par Joseph de Thomassin, avocat général en la Cour des Comptes, au début du XVIème siècle. Reconstruit en 1635 par Alexandre de Thomassin, seigneur d’Ainac, conseiller au Parlement. Vendu au début du XIXème siècle aux Sœurs de la Retraite qui le réunirent à l’hôtel de Galice situé quelques mètres plus bas.

Hôtel de Thomassin

Hôtel de Thomassin

Hôtel Guérin du Castelet

n°1 bis rue Aude

A la fin du XVIIème siècle propriété d’Alexandre de Guérin, conseiller au Parlement.

Aix_2013-03-02_0047

Hôtel Guérin du Castelet

Hôtel de Gaufridi

n°1 rue Aude

Construit par une famille consulaire, les Gaufridi.

Aix_2013-03-02_0047

Hôtel de Gaufridi

Hôtel de Barthélemy

n°12 rue Laurent Fauchier

Ou de Bompard

Construite en 1576 par Bompard, conseiller au Parlement.  Remanié par François de Barthélemy, consul d’Aix en 1649.

Hôtel de Barthélemy

Hôtel de Barthélemy

Hôtel de Barthélemy

Hôtel de Barthélemy

Hôtel de Barthélemy

Hôtel de Barthélemy

Hôtel Borrilli

n°2 rue des Bremondi

Reconstruit en 1606 pour Louise Mérindol, veuve du notaire N. Borrilli (mort en 1648).

Hôtel Borrilli

Hôtel Borrilli